#Vibrer

La pluralité culturelle

Le Boudoir continue ses recherches littéraires. Nous démarrons une séquence de plusieurs épisodes sur le thème du jeu avec les 11 000 Verges d’Apollinaire qui n’ont rien perdu de leur vigueur… Ah Mony quand tu nous tiens !

Le mari, la femme, l’amant

Giovanni Boccace (1313-1375) est un écrivain italien. Son œuvre en toscan, notamment son recueil de nouvelles Le Décaméron, qui eut un énorme succès tout au long des siècles, le fait considérer comme l’un des créateurs de la littérature italienne en prose.

Qui se frotte s’inonde

C’était une sensation de volupté indicible qui me força à étendre mes jambes devant moi et à les pousser contre les pieds de la table, tandis que mon corps, renversé en arrière, se pressait contre le dossier du fauteuil. Je sentis que le sang me montait au visage. Ma respiration devint oppressée, je dus fermer les yeux et ouvrir la bouche. Dans l’espace d’une seconde, mille pensées me traversèrent la cervelle.

Une colonne entre ses cuisses

Liseux présentait ainsi l’ouvrage en 1885 : « un manuel où tout ce qui regarde l’amour et les rapports sexuels serait exposé dans un ordre méthodique : classification des plaisirs, diverses manières de les goûter, préceptes d’hygiène, composition des baumes et parfums, recettes aphrodisiaques ; excellent conteur et bon poète, il a de plus assaisonné le tout de quantité d’historiettes divertissantes. »

La Religieuse

Elle m’invitait à lui baiser le front, les joues, les yeux et la bouche ; et je lui obéissais ; je ne crois pas qu’il y eût du mal à cela ; cependant son plaisir s’accroissait ; et comme je ne demandais pas mieux que d’ajouter à son bonheur d’une manière innocente, je lui baisais encore le front, les joues, les yeux et la bouche.

Qui mieux qu’une femme ?

Elle se penche devant lui et relève sa jupe, comme elle avait vu faire à la paysanne et… quelques secondes passent, puis elle sent… Une sorte de fer chaud glisse dans un trou étroit que Louise veut désespérément dilater. Cela semble accrocher en elle des chairs qui souffrent.

Amours interdites

À quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt ; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
À cette époque, mon père n’osait plus m’asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con ; il se retirait dès que je donnais le premier signe d’éveil.

Un jour, mon prince viendra…

[…]Culculine se baissa et, relevant la chemise, découvrit des cuisses rondes et grosses qui se réunissaient sous le chat blond cendré comme les cheveux. Alexine, poussant des petits cris de volupté, ramena sur le lit ses petits pieds qui laissèrent échapper des mules dont le bruit sur le sol fut sec.

Divin Marquis

DOLMANCÉ : Eh bien, madame, je vais m’étendre sur ce canapé ; vous vous placerez près de moi, vous vous emparerez du sujet, et vous en expliquerez vous-même les propriétés à notre jeune élève. (Dolmancé se place et Mme de Saint-Ange démontre.)
MME DE SAINT-ANGE : Ce sceptre de Vénus, que tu vois sous tes yeux, Eugénie, est le premier agent des plaisirs en amour