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Qui se frotte s’inonde

C’était une sensation de volupté indicible qui me força à étendre mes jambes devant moi et à les pousser contre les pieds de la table, tandis que mon corps, renversé en arrière, se pressait contre le dossier du fauteuil. Je sentis que le sang me montait au visage. Ma respiration devint oppressée, je dus fermer les yeux et ouvrir la bouche. Dans l’espace d’une seconde, mille pensées me traversèrent la cervelle.

Dans 100 jours, le Bac – L’organisation, le nerf de la guerre

Plus vous vous serez préparé et entraîné, moins vous aurez de stress au moment des dernières révisions, puis du concours ou de l’examen. Plus vous vous organisez, plus vous pouvez libérer du temps pour d’autres activités (loisirs, sports…), autant de moments indispensables pour de bonnes révisions sur la durée. Tout commence par une présence assidue aux cours. Cela semble couler de source ! Mais au-delà de la seule présence, il convient de faire preuve d’un maximum d’attention mêlée à de la pure concentration. Une écoute attentive est garante d’un gain de temps certain pour la suite de vos révisions. Pas question pendant les cours de tripoter son portable, de parler aux collègues, de parcourir la planète Internet. Orientez vos activités mentales vers la seule compréhension du message du prof.

Une colonne entre ses cuisses

Liseux présentait ainsi l’ouvrage en 1885 : « un manuel où tout ce qui regarde l’amour et les rapports sexuels serait exposé dans un ordre méthodique : classification des plaisirs, diverses manières de les goûter, préceptes d’hygiène, composition des baumes et parfums, recettes aphrodisiaques ; excellent conteur et bon poète, il a de plus assaisonné le tout de quantité d’historiettes divertissantes. »

La Religieuse

Elle m’invitait à lui baiser le front, les joues, les yeux et la bouche ; et je lui obéissais ; je ne crois pas qu’il y eût du mal à cela ; cependant son plaisir s’accroissait ; et comme je ne demandais pas mieux que d’ajouter à son bonheur d’une manière innocente, je lui baisais encore le front, les joues, les yeux et la bouche.

Qui mieux qu’une femme ?

Elle se penche devant lui et relève sa jupe, comme elle avait vu faire à la paysanne et… quelques secondes passent, puis elle sent… Une sorte de fer chaud glisse dans un trou étroit que Louise veut désespérément dilater. Cela semble accrocher en elle des chairs qui souffrent.

Amours interdites

À quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt ; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
À cette époque, mon père n’osait plus m’asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con ; il se retirait dès que je donnais le premier signe d’éveil.