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Un jour, mon prince viendra…

[…]Culculine se baissa et, relevant la chemise, découvrit des cuisses rondes et grosses qui se réunissaient sous le chat blond cendré comme les cheveux. Alexine, poussant des petits cris de volupté, ramena sur le lit ses petits pieds qui laissèrent échapper des mules dont le bruit sur le sol fut sec.

Divin Marquis

DOLMANCÉ : Eh bien, madame, je vais m’étendre sur ce canapé ; vous vous placerez près de moi, vous vous emparerez du sujet, et vous en expliquerez vous-même les propriétés à notre jeune élève. (Dolmancé se place et Mme de Saint-Ange démontre.)
MME DE SAINT-ANGE : Ce sceptre de Vénus, que tu vois sous tes yeux, Eugénie, est le premier agent des plaisirs en amour

Si l’art et la jouissance se conjuguent

Aussi, un désir irrésistible me fit encore me précipiter à genoux entre les jolies cuisses et coller ma bouche entre elles, transport qui nous valut l’obligation de poser ainsi de nouveau… Puis, sans plus tarder, nous nous mettons en devoir de poser pour l’acte naturel…

Par le petit trou de la lorgnette

Émile aspirait les chairs satinées de la jeune femme, échauffée, surexcité par sa leçon du matin ; il extravaguait devant cet abandon de la femme, se révélant dans ses charmes, et il pétrissait avec une fièvre de plus en plus folle les trésors qu’il découvrait

TECHNIQUE N° 48 : A DEUX, C’EST MIEUX !

Les acheteurs ne s’en privent pas… ils vous reçoivent à 2, 3 voir plus et là la négociation est ardue, pluie de questions et d’objections, manipulation de vos propos, apartés et ping-pong verbaux… le nombre n’est pas en votre faveur. Venir à deux, ce sera un réel avantage pour l’écoute des propos du client, la capacité à prendre du recul sur les échanges.

TECHNIQUE N° 47 : LE GENTIL ET LE MÉCHANT

La question est de savoir si, en techniques de vente, on peut utiliser des principes issus du storytelling, à commencer par le concept de gentil et du méchant. En storytelling, un « méchant » est un personnage, majoritairement antagoniste, incarnant le Mal. Il s’oppose en général au « gentil ». L’antagonisme est un concept de base du storytelling.

TECHNIQUE N° 46 : LE PARI

Cette technique s’inscrit dans la famille « prise de risque ». Nous l’avons vu dans le chapitre consacré à la pyramide de Maslow, chaque individu a besoin d’indépendance, d’estime et de considération. La relation de pouvoir entre 2 interlocuteurs favorise cette technique. L’objectif est de déplacer l’argumentation vers la capacité de votre interlocuteur à prendre des risques.